Dilemme éternel et difficile : pour ou contre les cachets anti malaria ?   Pour un médecin la réponse est sans doute catégorique.  Pour un voyage au long cours, ça me semble difficile (effets secondaires, approvisionnement et conservation, etc..) et de toute façon pas totalement efficace..  Après plusieurs semaines j’ai jeté mon stock de paludrine / chloroquine et n’ai gardé qu’une tablette de Lariam en cas d’attaque.   
Les piqûres sont inévitables.  Le moustiquaire et le T-shirt longues manches au soir ont été ma principale (bien que futile) protection.    

Les risques et les possibilités de contracter quelque chose de bizarre et exotique sont évidemment réels et permanents.  Prévenir le plus possible par le bon sens (vaccins, etc …).  Lire la rubrique « santé » d’un guide de voyage n’incite pas vraiment à quitter son pays … mais rien à y faire … on doit vivre avec !